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Courte vidéo, ULTRA APPLICABLE DES CE SOIR, pour des cheveux ultra malléables :

https://www.facebook.com/camaelle.alafolie/videos/563696144502297/

Ok maintenant à propos de slow life.


J’ai écrit des pages et des pages mais je pense que je préfère synthétiser ^_^ (je sais, ça en me ressemble pas)

Voilà l’idée : le confinement, si on met de côté l’anxiété et l’angoisse, c »est un peu l’univers (et l’état) qui nous oblige tous à ralentir.

Quand on enlève la course le matin pour déposer les enfants à la crèche/l’école tout en étant à l’heure au travail.
La course au travail fait et bien fait.
La course le soir pour récupérer tout le monde puis faire le dîner, les devoirs, le bain, le coucher.
La course le week-end et les vacances pour avoir une vie « bien remplie » avec suffisamment d’amis, suffisamment de sorties, suffisamment de voyages.
La couse au shopping pour être habillés comme il faut, coiffée comme il faut, conduire la voiture qu’il faut..



Quand on enlève tout ça et qu’on vous dit juste « restez chez vous », que reste-t-il ?



Ce qu’il reste c’est ce que j’appelle la « SLOW LIFE« 
(Ou alors la vraie vie ^_^)



Le calme.
Le vide.



Celui qui permet de regarder autour de soi et de voir.



Se voir soi.
Voir ses proches.
Voir sa vie.



Ressentir ses émotions.
Ressentir ses envies.
Etre en contact avec ses besoins et ses aspirations.



Beaucoup beaucoup trop de femmes n’ont pas de réponse à la question « quels sont tes rêves ? Qu’est-ce que tu veux ? Si tout était possible tu ferais quoi ? »

Et je pense que c’est cette course du quotidien qui empêche d’entendre la réponse.
(L’entendre, oui, parce que ce n’est pas quelque chose qui se trouve c’est quelque chose qui est déjà en nous, mais il y a tellement de « bruits » dans nos vies que c’est difficile à entendre)



J’ai choisis la SLOW LIFE vers 2011 (en commençant par arrêter d’écouter et de lire les actualités)(in fine : je ne suis influencée par aucune injonction sociale dans mes choix de vie)



Et je vis chaque jour le plaisir d’être connectée à moi-même : mes envies, mes besoins, mes rêves.

Je vis EXACTEMENT ma vie rêvée (et à chaque fois que mes rêves évoluent, j’ajuste, sans urgence)

Et je vous le dis : c’est le pied total ! Si je vous décrivais mon niveau de bonheur et de satisfaction au quotidien, vous ne me croiriez surement pas.
J’ADORE ma vie (et ça ne veut pas dire qu’elle est dénuée de problèmes et de difficultés, ça veut dire que j’AIME LES PROBLÈMES QUE J’AI)



Pendant cette période de quarantaine, je vous invite à vous rapprocher de ça par un exercice tout simple, auquel la période se prête bien  :



1. Renseignez vous sur l’actualité 1h par jour, pas plus (et sur vos réseaux sociaux, arrêtez de suivre tous les comptes qui vous connectent à la peur ambiante)

2. Demandez-vous régulièrement « et là, je veux quoi ?' » (je recommande de mettre une alarme sur son téléphone toutes les heures pour se rappeler de se poser la question)



La réponse peut être très variée : un verre d’eau, une pomme, une sieste, faire pipi, sautiller sur place dans mon salon, prendre mon bébé et le faire tourner au dessus de ma tête, passer la serpillière dans la salle de bain.

Peu importe.
Le but est de s’habituer à entendre ses envies.


Et puis bien sûr :

3. Le faire.



Le but ?



Devenir une personne qui sait ce qu’elle veut, et qui l’obtient.

Oui, ça commence comme ça : savoir qu’on a envie d’un verre d’eau, là tout de suite, et aller le boire.

(Faites moi confiance, ça fait presque 10 ans que je pratique)

Aller, à demain 🙂

Bonne soirée
Maelle

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