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L’importance de s’honorer.

Il n’y a rien de pire, je pense, que du potentiel intact. Du potentiel gardé intact par peur (des autres, de soi, de l’échec, de la réussite, de l’inconfort).
Il n’y a rien de pire que de négliger son bonheur, sa joie, juste parce que… juste parce que.(Vous comprendrez que quand je parle de potentiel, je parle de potentiel de bonheur et d’épanouissement)

L’impact des mots

Entre mon impact visuel et l’impact de mes mots, j’ai choisi les mots.
Comme pour vous, j’accorde une certaine valeur à ma beauté : je sais que tout passe mieux quand c’est dit avec une jolie tenue, un joli maquillage et une jolie posture.
(Ma déconvenue juste avant de monter sur scène devant 1000 personnes)

I am not my hair

Il y a quelques années, la chanson « I am not my hair » de la chanteuse India Ari faisait un tabas auprès des naturelles.
Et je n’ai jamais écouté cette chanson parce que toutes ces remarques m’agaçaient : parce que oui, merde, c’est important. Ça me mettait hors de moi qu’on puisse balayer d’un revers de main une vraie question de société comme celle-là.

Honorer sa féminité

j’AIME les femmes. Intensément.
J’aime notre capacité à parler de plusieurs choses en même temps, faire plusieurs choses en même temps, à tout instant prendre des décisions basées sur une multitude de petits détails que l’on sait avoir en tête SIMULTANÉMENT.

Ton ego, tes cheveux et moi

C’est l’histoire d’un lien improbable entre une affaire de harcèlement au travail et une histoire de cheveux.
On est d’accord sur le fait que se tromper c’est parfaitement humain, n’est-ce pas ?
Pourtant, on en fait quand même tout un pataquès.

S’aimer tels qu’on est

Parler d’amour de soi et d’estime de soi dans le cadre du cheveu naturel, j’ai trouvé ça longtemps compliqué.
Aujourd’hui, je me sens plus à l’aise avec le sujet et surtout je me crois capable maintenant (vive la maturité !) d’en parler avec bienveillance.

Anecdote et amour des cheveux

Vous savez ce qui se passe quand on arrête de se critiquer ? Quand on comprend que le regard qu’on porte sur nous-mêmes n’est PAS objectif, quand on comprend que ce ne sont pas NOS yeux qui regardent, mais le regard collectif d’une société qui a décidé à l’avance de ce qui est beau, alors on peut respirer.